BAC+3 conférant grade de LICENCE
Déployé sur trois ans, le principal objectif du premier cycle est la transmission des bases d’une formation artistique nécessaires au passage en second cycle, mais aussi suffisamment solides et cohérentes pour assurer l’autonomie du diplôme délivré.
Particulièrement en première année, la pédagogie consiste essentiellement en l’acquisition de fondamentaux pratiques et théoriques, socle à partir duquel une plus grande autonomie pourra s’affirmer dès la deuxième année. Outre des formats pédagogiques transversaux tels que les Ateliers de Recherche et de Création (ARC) dès le semestre 3, ainsi que la participation à des ateliers spécifiques librement choisis par l’étudiant·e dès le semestre 4, le projet individuel de l’étudiant·e occupe progressivement une place centrale dans son parcours.
Que ce soit l’apport de techniques spécifiques ou l’accompagnement théorique et conceptuel, il s’agit plus globalement d’amener chacun·e à développer une méthodologie de travail qui lui soit propre.
Chaque année, quatre artistes, dont les profils sont pour partie internationaux, sont invité·es à intervenir afin que l’étudiant·e, dans son cursus de trois ans, croise chaque semestre (du semestre 2 au semestre 5) un·e artiste invité·e pendant trois semaines. Véritable spécifité de l’ESAPB au regard des écoles supérieures d’art en France, le rôle de ces artistes invité·es est particulièrement central en premier cycle.
BAC+5 conférant grade de MASTER
Le second cycle mène en deux ans au Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique.
Sa pédagogie s’organise autour du projet individuel de chaque étudiant·e constitué de trois éléments : l’élaboration continue d’un travail plastique, un projet de mobilité académique ou de stage, et la rédaction d’un mémoire.
Des cours théoriques, des sessions de présentation de projets, la participation à un Atelier de Recherche et Création, ainsi que des workshops avec des artistes invité·es viennent compléter la participation régulière à deux ateliers librement choisis par l’étudiant·e (avec la possibilité de réviser son choix à chaque semestre).
Par ailleurs, l’ensemble du parcours est pensé de manière à aborder avec la même importance les enjeux de recherche et de professionnalisation. Des formats pédagogiques dédiés ont vocation à articuler ces deux plans au sein du projet global de l’étudiant·e.
Dès le début de son cursus à l’ESAPB, l’étudiant·e doit expérimenter dans tous les médiums enseignés (dessin, écriture, numérique, peinture, gravure, performance, photographie, vidéo, volume).
À partir de la deuxième année, et de manière progressive, l’ensemble de l’équipe pédagogique assure un suivi qui permet de donner une direction à sa pratique, notamment par un choix d’ateliers spécifiques, et de garantir une transversalité.
La participation aux workshops conduits par les artistes invité·es vient compléter l’accompagnement pédagogique.L’échelle de l’école et le nombre limité d’étudiant·es par promotion favorisent un suivi individualisé ainsi qu’un apprentissage personnalisé des outils, des techniques et des pratiques.
Dans la même dynamique, l’approche théorique, portéepar les enseignements fondamentaux et les partenaires extérieurs, permet à l’étudiant·e d’élaborer un point de vue critique et singulier sur le monde.
ANNÉE 1 · Semestres 1 et 2
En 1re année, la question des « fondamentaux » est abordée à travers l’acquisition des bases indispensables qui permettent à l’étudiant·e d’améliorer ses capacités de recherche, d’analyse et de création. Il s’agit d’amener l’étudiant·e à définir son propre espace d’expérimentation. L’intervention d’un·e artiste invité·e au second semestre est ici primordiale.
ANNÉE 2 · Semestres 3 et 4
En 2e année, les enseignements dispensés en début de cursus se poursuivent par des approches où les dimensions méthodologiques sont plus spécifiquement abordées. La présence affirmée des artistes invité·es, la participation à un Atelier de Recherche et de Création (ARC), le travail en atelier à partir du semestre 4 et le suivi d’un stage de deux semaines hors les murs permettent de provoquer autant de rencontres qui favorisent l’apparition d’écritures plastiques propres à chaque étudiant·e.
ANNÉE 3 · Semestres 5 et 6
En 3e année, une attention particulière est apportée à l’émergence de singularités dans les travaux de l’étudiant·e. L’exploration approfondie de médiums ciblés en ateliers couplée à la participation à un ARC ainsi que la présence d’un·e artiste invité·e soutiennent la dynamique de travail jusqu’en fin d’année. Au-delà de l’accompagnement au diplôme, l’objectif est de consolider le socle des acquis en vue de la poursuite d’études en second cycle.
ANNÉE 4 · Semestres 7 et 8
En 4e année, l’étudiant·e est amené·e à déterminer son projet de manière plus autonome. La pratique plastique continue de s’affirmer en atelier en dialogue avec les enseignant·es ; un projet de mobilité (semestre 8), qui peut prendre la forme d’un séjour d’étude ou d’un stage de longue durée à l’étranger, permet de faire l’expérience d’autres réalités ; et enfin, la rédaction d’un mémoire vient initier une dynamique de recherche où théorie et pratique se nourrissent l’une et l’autre pour renforcer la cohérence générale du projet de l’étudiant·e.
ANNÉE 5 · Semestres 9 et 10
La 5e année vient donner corps aux recherches initiées depuis un an. Le mémoire trouve sa forme finale, tandis que les expérimentations plastiques s’organisent autour d’une problématique claire et assumée. Le passage du diplôme est l’aboutissement d’un processus déployé sur quatre semestres, qui ont permis de renforcer la cohérence du parcours de l’étudiant·e.
La pédagogie de l’ESAPB se transmet via différents modes d’intervention : des cours en classe et en atelier, des modules qui convoquent plusieurs enseignements tels que les ateliers de recherche et de création, des conférences, des séminaires, des workshops et des voyages d’études. Chaque discipline est sous la responsabilité d’un·e ou plusieurs enseignant·es spécialistes des domaines abordés qui accompagnent les étudiant·es durant l’ensemble de leur cursus.
La pratique d’atelier devient centrale en 2e année, à partir du semestre 4. L’ensemble du parcours pédagogique s’organise autour d’un équilibre entre suivi pédagogique collectif et individuel, et travail en autonomie.En plus de la fréquentation hebdomadaire des ateliers, chaque étudiant·e dispose, au sein d’un espace dédié, d’un périmètre individuel de travail, lui permettant de développer quotidiennement sa production plastique. La cohérence du projet personnel de l’étudiant·e est permise par un système de tutorat.
Par le biais d’entretiens individuels, au moins deux enseignant·s prennent en charge le suivi d’un·e étudiant·e. À cela s’ajoutent la fréquentation de formats pédagogiques collectifs, la participation à des temps de restitution, des présentations et des discussions. L’alternance entre entretiens individuels et espaces critiques partagés est motrice pour la construction d’un regard et d’un discours pertinents sur son propre travail.
• HISTOIRE, THÉORIE
& ACTUALITÉ DE L'ART
• ÉCRITURES
• SCIENCES HUMAINES
• ANGLAIS
• DESSIN
• GRAVURE
• NUMÉRIQUE
• PEINTURE
• PERFORMANCE
• PHOTO
• PRATIQUE D'ESPACE & D'ACCROCHAGE
• VIDÉO
• VOLUME ESPACE
Composée d’artistes et de théoricien·nes, l’équipe enseignante assure la transmission et l’assimilation de savoir-faire, de techniques et de savoirs théoriques fondamentaux.
Si elle garantit la progressivité, la conformité et la stabilité du programme pédagogique, notamment vis-à-vis de la règlementation en vigueur relative à l’organisation des études, elle conçoit ses enseignements de manière complémentaire et articulée aux propositions de travail apportées par les artistes invité·es.
Lorsqu’un accompagnement est nécessaire pour le déroulement de la proposition, les enseignant·es ont également vocation à participer à l’encadrement des invitations. Élaboré collégialement, le programme pédagogique général déployé sur trois ou cinq ans couvre l’ensemble des champs nécessaires aux deux formations que sont le DNA et le DNSEP.
Professionnel·les de la création contemporaine (artistes plasticiens, auteurs, cinéastes, etc.), les artistes invité·es sont placé·es au cœur de la pédagogie.
Réelle singularité dans le paysage des écoles supérieures d’art en France, ces invitations interviennent auprès de toutes les années, trois semaines en moyenne par semestre en premier cycle par le biais de workshops de longue durée, et sur des durées plus courtes fléchées recherche en second cycle, impliquant également du suivi de projet.
Ces rencontres permettent aux étudiant·es d’être en lien avec l’actualité de la création contemporaine et la réalité du monde professionnel. Elles ouvrent de nouvelles perspectives de recherche plastique et les engagent dans une démarche expérimentale et souvent collective.
La diversité des profils des artistes invité·es place les étudiant·es dans une pluralité de contextes de travail, où ils apprennent à maîtriser les contraintes de temps, d’espace, de rendu et à affirmer leur point de vue. Cela permet également une prise de conscience concernant la diversité des possibles quant à la façon d’être artiste aujourd’hui, ou plus largement de s’impliquer professionnellement dans le secteur artistique et culturel contemporain.
En étroite collaboration avec les artistes invité·es, l’équipe pédagogique effectue en temps réel une veille des modes de production et de création émergents, et favorise l’appréhension de nouvelles formes d’intervention pour l’artiste.
D’autres personnalités (commissaires, théoriciens, techniciens, etc.) sont ponctuellement conviées par l’école. Ces professionnel·les de la création contemporaine viennent compléter le programme de formation en fonction de leurs compétences et de leurs champs de recherche.
Artistes et professionnel·les peuvent également être invité·es à intervenir dans un format pédagogique spécifique (ARC, séminaire Économies de l’art, ateliers).
Des formes d’accès à la dimension recherche sont également proposées à travers des conférences, des séminaires et des journées d’étude spécifiques.
Georges Didi-Huberman philosophe et historien de l’art / Olivier Cadiot écrivain / Rodolphe Burger philosophe et musicien / Natacha Nisic vidéaste / éric Poitevin photographe / Christophe Atabekian réalisateur / Michel Blazy plasticien / Nicolas Klotz & Élisabeth Perceval cinéastes / Léa Crespi photographe / Philippe Jacq plasticien / Grout & Mazéas plasticiens / Fabrice Hyber plasticien / Véronique Aubouy cinéaste / Philippe Mayaux plasticien / Stéphane Pencréac’h peintre et sculpteur / Caroline Duchatelet vidéaste / Marc Desgrandchamps peintre / Mathieu Pernot photographe / Christian Caujolle commissaire et critique / Henri Herré cinéaste / Catherine David commissaire d’exposition / Maïder Fortuné vidéaste / JULIEN PRÉVIEUX plasticien / Anna Malagrida photographe / Sarah Ritter photographe / Xavier Boussiron plasticien et musicien / Véronique Boudier sculpteure / Delphine Coindet sculpteure et peintre / Sophie Perez metteuse en scène / Jean-Yves Jouannais critique d’art et écrivain / S&P Stanikas plasticiens / Frédéric Coché artiste et auteur / Raphaël Dallaporta photographe / Jean-Louis Tornato photographe / Jean-Luc Verna plasticien et performeur / Nora Martirosyan cinéaste et vidéaste / Nina Childress peintre / Denis Darzacq photographe / valérie jouve photographe / barthélémy toguo plasticien / hendrik sturm artiste promeneur / agnès thurnauer peintre / Estefanía PEÑAFIEL LOAIZA plasticienne / cindy coutant artiste multimedia / éric madeleine plasticien et performeur / Hervé Di Rosa plasticien / Mathieu Mercier plasticien / Charlotte Charbonnel plasticienne / Martin Le Chevallier plasticien / Cameron Jamie plasticien/ Malachi Farrell plasticien / Myriam Mihindou plasticienne / Philippe Ramette plasticien / Santiago Reyes plasticien / Clarisse Doussot photographe / Loïc Connanski plasticien / Louise Hervé et Clovis Maillet plasticiens / Emmanuel Louisgrand artiste jardinier / Paul Sochacki plasticien / Marie Losier réalisatrice / Bruno Perramant artiste peintre / June Crespo artiste / Jean-Marie Perdrix artiste / Pauline Curnier Jardin artiste / Antoine Medes artiste / Juan Pérez agirregoikoa artiste / Laura Gozlan artiste / Loreto Martinez Tronconso artiste performeuse / Deborah Bowmann artistes / Damaris Pan artiste / Laëtitia Badaut Haussmann artiste / Charlie Aubry artiste
Étroitement liée au projet d’établissement, la recherche à l’ESAPB est portée par une dynamique transfrontalière et internationale.
À travers des projets et des collaborations à l’échelle régionale et européenne, elle s’articule autour de deux unités de recherche structurées autour de deux lignes de force : d’un côté une attention portée au territoire, alimentée par les enjeux écologiques liés à la situation de crise actuelle, et d’un autre côté, une réflexion autour des potentialités numériques offertes entre autres par le développement de l’intelligence artificielle, ses conséquences pour la création artistique et ses implications philosophiques.
Des Ateliers de Recherche et de Création (ARC), formats pédagogiques pluridisciplinaires dédiés à une problématique autour de laquelle des connaissances et des savoir-faire sont collectivement produits, proposent à partir de l’année 2 une initiation à la recherche en art, et permettent exploration et approfondissement jusqu’en année 5.
La rédaction d’un mémoire en second cycle est accompagnée et encadrée par une initiation à la recherche en année 4, puis une méthodologie de la recherche en année 5.
La formation à la recherche en art a lieu également lors de séminaires de présentation de projets, où démarches théoriques et pratiques doivent être articulées et problématisées.
Des séminaires de recherche, des conférences et des tables-rondes viennent compléter les formats de transmission et de production de la recherche en art.
La professionnalisation est considérée à l’ESAPB comme un élément central et moteur de sa pédagogie.
Dans cette optique, les artistes invité·es remplissent un rôle de premier plan et sont l’occasion de donner une place de choix à l’expérience et l’expertise professionnelles. En apportant un savoir-faire lié à leur profession, ces personnalités extérieures remplissent une fonction différente de celle des enseignant·es qui assurent continuité et complémentarité au sein de la formation. Par ailleurs, la diversité des profils, des générations et des médiums permet d’amener dans l’école la variété des écosystèmes de l’art et des manières de les habiter.
Dès le premier cycle, les étudiant·es sont encouragé·es à réaliser des stages d’observation ou d’immersion avec des artistes, des professionnel·les du monde de l’art ou de la culture, ou des structures institutionnelles situés au Pays Basque sud ou ailleurs en Europe. Les projets de mobilité en second cycle peuvent être orientés vers des stages de longue durée. Particulièrement en DNSEP, nous veillons à ce que tout projet de mobilité soit articulé à un projet professionnel, ainsi qu’à une démarche de recherche.
À partir de l’année 3, un séminaire intitulé Économies de l’art vient articuler les dimensions de recherche et de professionnalisation par une réflexion sur les conditions matérielles de production et de création, mêlant considérations pratiques, théoriques et historiques. Son fonctionnement repose sur l’invitation de différentes personnalités représentant toute la variété des acteurs du monde de l’art, issues de contextes institutionnels divers, ou relevant du statut d’artiste-auteur.
À l’échelle de l’ensemble des formations, le programme Makila Makita coordonne un programme annuel dédié à l’insertion professionnelle avec l’organisation d’expositions de diplômé·es et d’anciens diplômé·es, de conférences, de rencontres et de voyages à visée professionnalisante.
Intrinsèquement tournée vers l’international, l’ESAPB favorise la mobilité de ses étudiant·es.
La mobilité permet d’explorer des domaines méconnus, d’approfondir son projet personnel, sa pratique professionnelle et sa technicité dans un contexte culturel et pédagogique tout à fait différent.
L’enseignement d’une langue étrangère, les voyages pédagogiques, le parcours de visites culturelles et professionnelles sur le territoire, les projets pédagogiques et séminaires internationaux, les invitations d’artistes internationaux et les stages en milieu professionnel sont autant d’opportunités pour les étudiant·es d’intégrer la mobilité interrégionale, transfrontalière et/ou internationale à leur cursus et à leur projet.
L’école encourage les étudiant·es à se saisir de ces opportunités. Pour cela, un accompagnement spécifique assuré par la responsable des relations internationales est mis en œuvre dès le premier cycle. Le second semestre de 4e année est destiné à la mobilité « hors les murs ». Les étudiant·es ont la possibilité :
• d’étudier un semestre dans un établissement partenaire en Europe ou hors Europe ;
• d’effectuer un stage professionnel en Europe ou hors Europe ;
• de combiner étude et stage en effectuant une mobilité sur le territoire transfrontalier.
Dans le cadre de ces mobilités « hors les murs », la totalité des étudiant·es de 4e année bénéficient des aides au financement prévues par le programme communautaire Erasmus+.
EN 1re ANNÉE
L’admission en 1re année se fait par voie de concours. Celui-ci comprend quatre épreuves :
• une épreuve plastique ;
• une épreuve écrite de culture générale ;
• une épreuve d’anglais langue étrangère ;
• un entretien en visioconférence face à un jury d’enseignant·es sur la base des compositions des candidat·es aux épreuves théoriques et plastique, et de leur portfolio. Au cours de cet échange, il sera demandé aux candidat·es de choisir et de présenter 4 ou 5 réalisations significatives de leur travail.
Un tarif unique de 35 € par session permet de postuler à toutes les formations de l’ESAPB.
Les candidat·es doivent être titulaires du baccalauréat ou l’obtenir lors de la session de l’année en cours. À titre dérogatoire, l’école peut accepter l’inscription au concours d’entrée de candidat·es non bachelier·ères (hors élèves de terminale).
EN COURS DE CURSUS (année 2 à 5)
Les commissions d’admission et d’équivalence permettent l’intégration d’étudiant·es en cours de cursus.
La commission d’admission concerne les étudiant·es ayant commencé leurs études dans d‘autres écoles d’art agréées par le ministère de la Culture. La commission d’équivalence s’adresse aux étudiant·es issu·es d’un cursus universitaire en arts plastiques ou en arts appliqués (passerelle Éducation Nationale / ministère de la Culture) ou celles et ceux qui ont accompli une ou plusieurs années d’études artistiques dans un autre établissement d’enseignement supérieur, non agréé par le ministère de la Culture.
Les candidat·es sont convoqué·es à un entretien en visioconférence avec un jury composé de la directrice et d’enseignant·es de l’école, au cours duquel doit être présenté leur dossier de travaux personnels.
• de 480 € à 780 € de droits d’inscription selon échelon de bourse
• pour toute inscription en 1er cycle : 250€ de frais de mise à disposition d’un ordinateur portable neuf doté des logiciels nécessaires à la pédagogie, que l’étudiant·e pourra acquérir via une option de rachat après obtention du DNA.
Les étudiant·es inscrit·es sont éligibles aux bourses étudiantes et ont accès aux services du CROUS (logement, restauration, médecine, etc.).
Delphine Etchepare, directrice
Frédéric Duprat, directeur adjoint
Anaiz Aguirre Olhagaray, secrétariat pédagogique des formations diplômantes - Assistante de direction
Joel Belouet, responsable communication, édition & documentation - Assistant de direction
Sandrine Evanno, chargée de la comptabilité et du secrétariat du service technique
Lucile Gouffon, responsable relations internationales & partenariats
Claire Meekel, gestionnaire administrative et financière
Mathile Serra, assistante documentaliste
Amaya Vanhems, responsable administrative et financière
Jérôme De Elizondo, agent technique
Fabien Etcheberry, agent technique
Frédéric Gayel, responsable de l'équipe informatique et audiovisuel
Samuel Gerbou, responsable de l'équipe technique
Margaux Liesenborghs, agent technique audiovisuel et informatique
Edith Mercier, assistante communication et reprographie
Éric Quatre Vieux, responsable des bâtiments
Smail Zouadine, responsable informatique
Miren Arenzana, volume - espace
Maddi Barber, vidéo
Fabrice Croux, volume, pratiques d'espace et accrochage
Grégory Cuquel, volume
Charlotte El Moussaed, photo
Marc Fontenelle, volume — espace
Bernard Hausseguy, performance
Omar Ibrahim, langue étrangère — anglais
Vincent Labaume, sciences humaines, performance
Thomas Lanette, numérique
Béranger Laymond, dessin, pratiques d'espace et accrochage
Maxime Morel, histoire de l’art et actualité de l’art contemporain, écritures
Clara Pacquet, histoire, théorie et actualité de l’art, responsable de la recherche
Olivier Passieux, peinture
Charlotte Prévot, histoire de l’art et actualité de l’art contemporain
Chantal Raguet, dessin peinture installation
Gaëtan Robillard, numérique
Romain Sein, numérique
Benjamin Seror, performance
Mathilde Supe, vidéo
Mickaël Vivier, numérique
Blaise Guirao, assistant d'enseignement en volume
Jana Lottenburger, assistante d'enseignement en gravure
Judith Millot, assistante d'enseignement en gravure
Guilhem Roubichou, assistant d'enseignement en volume